Le dernier point que tu développes m'interesse particulièrement car moi aussi cheuveux au vent et à mes heures perdues je laisse aller mon poignet orné de son stylo plume se balader au grès de pages blanches et vierges.
Clichés après clichés je divague et m'enporte, viennent les nuits sonnent l'heure, les jours s'en vont, je demeure. Mais Va, Cours, Voles, et nous venge! alors qu'il s'appittoyait sur son sort évoquant sa rage et son désespoir ou encore sa vieillesse ennemie. Il fallut néanmoins cultiver son jardin où sous le pont mirabeau coule la scène. J'ai envie de dire que demain dès l'aube je partirais. Je dis les choses comme elles sont laissant le lecteur ramasser les moralités à mesure que les faits les sèment sur leurs chemins. Le château de Thunder-ten-Thronck n'est plus loin déjà que nous partîmes 300 et par un prompt renfort nous nous vîmes 3000 en arrivant au port.
Ce texte ne veut à peu près rien dire. Essayez donc de chercher les allusions littéraires...